Notre projet a été construit autour de 10 établissements de pays européens différents (Roumanie, France, Italie, Autriche, Turquie, Pologne, Grèce, Espagne, Bulgarie et Lituanie).
La rédaction du dossier de candidature a été commencée lors de la visite préparatoire en Roumanie (novembre 2012), où les enseignants de 5 pays (Roumanie, France, Italie, Autriche et Turquie) ont travaillé et ont tissé des liens d'amitiés.
Depuis cette visite préparatoire et jusqu'au dépôt du dossier de candidature en février 2013, tous les enseignants n'ont pas cessé de travailler à l'amélioration du contenu pédagogique du projet. Le temps passé à échanger par courrier électronique, par Skype ou par FaceBook n'a pas été compté, car l'objectif était d'élaborer un projet qui soit utile aux élèves et aux enseignants...
En juillet 2013, à la proclamation des résultats des candidatures, nous avons eu la confirmation que l'énergie dépensée pendant une année a été payante. En effet, les évaluateurs des projets COMENIUS ont attribué la note exceptionnelle de 99,25/100. De ce fait, les 10 établissements ont été acceptés par les Agences nationales !! Nous avons alors pris conscience que notre projet avait obtenu la confiance de l'Europe, et que nous avions une pression importante pour réussir. Mais l'équipe était soudée et volontaire, prête à franchir toutes les étapes de ce projet.
Malheureusement, nous ne pourrons pas profiter de la richesse des 10 partenaires. En effet, nous avons appris lundi 11 novembre que le partenaire autrichien a
été débarqué car le directeur de l’établissement a refusé de signer
le contrat alors qu’il avait autorisé le collègue, Josef Lengheimer, à prendre
part à la visite préparatoire en Roumanie l’année dernière, que les collègues autrichiens
n’avaient pas compté leur temps pour aider à la rédaction du dossier de
candidature, que l’Agence autrichienne avait accepté et validé la candidature
de l’établissement. Cette décision est incompréhensible et va à l’encontre de
l’ouverture culturelle prônée et déjà mise en œuvre par ce chef d’établissement
dans d’autres projets européens.
Cette décision nous laisse un goût amer...
comment refuser que son établissement prenne part à un projet dans lequel ses enseignants se sont très fortement impliqués ?
Le nombre de mobilités n'est pas un problème, au contraire, elles sont un moyen de s'ouvrir sur l'Autre.
La langue française est la langue de communication, mais tous les partenaires ne parlent pas français... l'anglais sera la deuxième langue de communication, et de toute façon le principal est d'échanger, peut importante le moyen employé (verbal ou non).
Chers partenaires et surtout amis, comment montrer et démontrer au chef d'établissement autrichien que
(1) son établissement y perd à ne pas se joindre pleinement à EAU ?
(2) tous les partenaires y perdent ?
J'attends votre part, des propositions à mettre en oeuvre.
merci beaucoup...
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